Les tantes de Kerellot

 

 

Version 3.6_page 09-41_ janvier 2019

 

 

Emilienne Le Lann racontait souvent, que les tantes de Kerellot avaient décidé de donner leurs biens à sa mère, Thérèse Laé. La grand-mère, Marie Ursule Mercier, s'y est farouchement opposée : « pourquoi pas les autres ? »

Finalement rien en s'est fait.

 

Mais de quelles tantes s'agissait-il ?

 

Allain Marie Laé s'est marié deux fois : la première fois avec Marie Joseph Keraudren, qui décèdera en 1842, puis avec Marie Perrine Quézédé, dont il a eu plusieurs enfants.

 

Il y a eu

Marie Jeanne, qui a épousé Louis Goulet,

Angélique Marie, qui a épousé Pierre Douarinou,

Marie Louise, qui a épousé Joseph Le Floc'h

Marie Augustine, qui a épousé Pierre Mazeas,

Marie Perrine et Hervé Laé, qui sont restés célibataires.

 

Quand on reprend les documents de la caisse en bois, il apparaît, que Véronique Quélen a acheté en 1888 à Marie Jeanne et Angélique les biens issus de la succession de leur demi-frère, François Marie, né du premier mariage, en l’occurrence le second penty.

 

On ne sait pas exactement, quels étaient les biens, dont chacun disposait. Il y a seulement le fait, qu'il y avait 6 lots dans la succession d'Alain Laé et que nous avons la copie du 6ème lot, qui fut attribué à Marie Louise.

 

Jean Laé et sa mère, Véronique Quélen, ont acheté des parcelles appartenant à Marie Jeanne, Marie Louise, Hervé, Augustine.

 

 

Par soustraction on va donc conclure, qu'il n'y avait qu'une tante : Marie Perrine.