Les 7 cousins Jouin

 

Version 3.7_ page 04-81_ novembre 2019

 

 

Parmi les nombreux documents récupérés il y avait une photo non datée.

 

 

Qui est sur la photo ? Faute de légende il faut se résoudre à faire des suppositions.

 

Par exemple on aurait les quatre enfants Le Lann :

Pierre, Paul, Louise et Marie Joséphine

On aurait aussi Louis Maudire.

 

Il reste deux garçons ; s'agit-il des enfants de Marie Jeanne Jouin, les Gourvennec ? C'est peu probable car ils sont nettement plus âgés. Serait-ce alors ceux d'Augustine Jouin ? On se souvient, que Paul Le Lann est né chez elle, 21 rue Armorique à Recouvrance. C'est probable car ils sont habillés de manière identique mais, dans ce cas, il manque Juliette, la fille, née le 29 novembre 1901 au 32 rue Armorique. Dans ce cas la photo doit alors dater de la période 1902-1904

 

Augustine Jouin a épousé Joseph Le Lann, dont le père, Pierre Le Lann, a épousé Marie Joseph Morvan le 12 juin 1865 à Roscanvel, alors, que son frère, Jean Louis Marie Le Lann avait épousé Jeanne Louise Marie Stéphan le 6 juillet 1850. Ce sont tous les deux les fils d'Yves Le Lann, fils.

On se souviendra, que les Le Lann et les Maudire sont également cousins par les Penfrat (voir la page sur tante Adèle); on reste en famille, même si cela n'atteint pas la complexité rencontrée à Kerloc'h.

 

Qui est la personne en coiffe ? Marie Jeanne Louis, Adeline ? Augustine ?

C'est probablement Marie Jeanne Louise Jouin, la mère de Pierre, qui est née en 1864 car la grand-mère,Jeanne Louise Marie Stéphan est née en 1828.

 

Sur la photo du mariage Pippo de 1920 on retrouve Marie Jeanne Louis Jouin ; on a le même visage avec la même implantation des cheveux.

Les couleurs permettent d'attribuer les enfants à leurs mères respectives.

 

Il reste toutefois une incertitude sur les enfants d'Augustine.

 

Les descendants d'Augustine Jouin ne sont pas dans le tableau dressé par Gérard Jouin. Pour nous cela s'est arrêté avec la tante Juliette, qui avait le même âge, que Célestine Le Bihan et qui était dans la liste des personnes à visiter régulièrement le jeudi.

 

De même au niveau des descendants de Marie Jeanne Jouin, il manque Augustine, pour nous la tante Pignon, qui faisait également partie de la même liste.

 

Il faut noter, que pour distinguer les tantes, nous utilisions soit les prénoms, soit le nom du mari, sans règle précise, mais jamais les deux. Cela a pu générer des confusions , notamment en ce qui concerne la tante Françoise (Gourvennec). De quelle branche « Gourvennec » parle-t-on ?

 

Aujourd'hui il n'y a plus de contacts avec les descendants de ces tantes, qui nous visitions le jeudi. La dispersion n'explique pas tout